Entreprise : Groupe SII
Lieu : La Défense, France
Voir l'offreEntreprise : Thomas Search Consulting
Lieu : Caen, France
Voir l'offreEntreprise : Ypto NV
Lieu : Bruxelles, Belgique
Voir l'offreEntreprise : SKYFORCE Cyber Security
Lieu : Waterloo, Belgique
Voir l'offreEntreprise : Enterpryze Consulting Ltd.
Lieu : Mons, Belgique
Voir l'offrePlusieurs agences et organisations sont dédiées à la lutte contre la cybercriminalité. Par exemple, le Centre pour la Cybersécurité Belgique (CCB) est l'autorité nationale en charge de la cybersécurité en Belgique. Il supervise, coordonne et veille à la mise en œuvre de la stratégie belge en matière de cybersécurité. Le Centre d’opérations de cyberdéfense (CDOC) de Microsoft est un autre exemple, réunissant des spécialistes de la cybersécurité et des scientifiques des données pour combattre les menaces en temps réel.
Les moyens modernes de ciblage et de verrouillage des criminels en ligne incluent des technologies avancées de détection et d'intervention dans le cloud. Par exemple, CrowdStrike propose une solution de détection et d'intervention dans le cloud (CDR) qui permet de détecter, identifier et bloquer les activités des cyberadversaires en temps réel. Le chiffrement des données est également une mesure importante de sécurité et de protection des données, surtout dans le contexte de l'informatique en nuage. Découvrez plus de pratiques de chiffrement sur le site de la CNIL.
La lutte contre la criminalité en ligne nécessite une coopération internationale. Par exemple, l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) a élaboré un référentiel stratégique pour la lutte contre la criminalité organisée, qui inclut des stratégies bilatérales et trilatérales. De même, l'Union européenne met en œuvre des moyens de lutte contre la criminalité organisée, en coopération avec des partenaires internationaux et les secteurs public et privé.
Pour renseigner des criminels en ligne, plusieurs procédures peuvent être suivies. En Belgique, il est possible de porter plainte en ligne via le portail Police-on-web pour des infractions non urgentes. Les plaintes peuvent également être déposées auprès d'un commissariat de police ou envoyées par courrier au procureur du Roi. La plateforme Just-on-web centralise les services numériques de la Justice, permettant de déposer des requêtes et de consulter des dossiers judiciaires.
La traçabilité et l'anonymat sur Internet sont devenus des sujets cruciaux à l'ère du numérique. De plus en plus de personnes cherchent à protéger leur vie privée en ligne, mais les enjeux de sécurité et de traçabilité rendent cette quête complexe.
Les VPN (Virtual Private Networks) sont des outils couramment utilisés pour masquer l'adresse IP des utilisateurs et chiffrer leur trafic Internet. Ils permettent de naviguer de manière plus privée en protégeant les informations personnelles contre les regards indiscrets. Cependant, il est essentiel de comprendre que les VPN ne garantissent pas un anonymat absolu. Les autorités légales, avec les mandats appropriés, peuvent accéder aux données des utilisateurs en contournant ces systèmes.
Les gouvernements et les entreprises de cybersécurité travaillent constamment à améliorer la traçabilité en ligne pour lutter contre la cybercriminalité. Les pirates et hackers utilisent souvent des outils d'anonymisation pour dissimuler leur identité lorsqu'ils commettent des actes illégaux. En réponse, de nouvelles technologies et méthodes sont développées pour suivre et identifier ces individus malintentionnés.
La collaboration internationale est essentielle pour renforcer la sécurité numérique. Les exercices de cybersécurité, tels que ceux organisés par l'OTAN, jouent un rôle crucial dans l'amélioration des défenses contre les menaces potentielles. Ces initiatives permettent de tester les systèmes existants et de développer de nouvelles stratégies pour contrer les cyberattaques.
Il est important de trouver un équilibre entre la protection de la vie privée des utilisateurs ordinaires et la nécessité de traquer les criminels en ligne. Les mesures de traçabilité doivent être mises en place avec prudence pour éviter les abus et protéger les droits des citoyens. La vie privée est un droit fondamental, et les efforts pour assurer la sécurité numérique ne doivent pas compromettre ce principe.
En conclusion, la traçabilité et l'anonymat en ligne sont des enjeux complexes qui nécessitent une approche équilibrée et collaborative. Les outils tels que les VPN offrent une protection, mais ils ne sont pas infaillibles. Les avancées technologiques et les initiatives internationales jouent un rôle clé dans la lutte contre la cybercriminalité tout en préservant la vie privée des utilisateurs.
Les institutions jouent un rôle crucial dans la régulation et la protection des données digitales. Par exemple, le Règlement sur la Gouvernance Européenne des Données (Data Governance Act) vise à créer un marché unique des données dans l'Union Européenne, en renforçant la confiance dans le partage volontaire des données et en supprimant les obstacles techniques à leur réutilisation. De plus, le RGPD pour les institutions européennes assure que les citoyens de l'UE jouissent des mêmes droits renforcés lorsqu'ils traitent avec les institutions de l'UE.
Les menaces en ligne, telles que le cyberharcèlement, les attaques DDoS, le phishing, et les ransomwares, sont de plus en plus fréquentes. Les institutions comme l'UNICEF et le Service-Public.fr fournissent des ressources et des conseils pour lutter contre ces menaces.
L'intelligence artificielle (IA) joue un rôle central dans l'amélioration de la connexion entre les États et les institutions pour lutter contre les cybermenaces. Par exemple, le European Digital Infrastructure Consortium (EDIC) Europeum utilise la technologie blockchain pour renforcer la sécurité et la transparence des interactions numériques à travers l'UE. De plus, des initiatives comme AI4Belgium et Blockchain4Belgium visent à connecter les acteurs belges sur ces thématiques et à renforcer la visibilité de la Belgique à l'échelle internationale.
Le cyberterrorisme et le piratage sont des menaces sérieuses qui nécessitent des mesures robustes. Le cyberterrorisme est défini comme l'utilisation préméditée des activités perturbatrices contre des ordinateurs et réseaux pour causer des dommages ou des perturbations graves. Les institutions comme l'ANSSI en France travaillent activement pour contrer ces menaces.
Pour renseigner des criminels en ligne, plusieurs procédures peuvent être suivies. En Belgique, il est possible de porter plainte en ligne via le portail Police-on-web pour des infractions non urgentes. Les plaintes peuvent également être déposées auprès d'un commissariat de police ou envoyées par courrier au procureur du Roi. La plateforme Just-on-web centralise les services numériques de la Justice, permettant de déposer des requêtes et de consulter des dossiers judiciaires.
En conclusion, la lutte contre les menaces en ligne nécessite une approche collaborative et l'utilisation de technologies avancées comme l'IA et la blockchain. Les institutions jouent un rôle crucial dans la régulation et la protection des données digitales, et les initiatives internationales renforcent la sécurité numérique à l'échelle mondiale.
La police belge joue un rôle crucial dans la sécurité nationale et internationale grâce à ses capacités avancées d'interception et de neutralisation des individus malveillants. En collaboration avec Interpol, la police belge utilise des infrastructures administratives sophistiquées, des ordinateurs et des smartphones pour traquer et neutraliser les cybercriminels et autres menaces.
La Belgique est membre d'Interpol depuis 1923, et le Bureau Central National (BCN) de Bruxelles fait partie de l'unité de coopération policière internationale de la police fédérale. Le BCN fournit des renseignements globaux en temps réel, permettant aux agents de police belges de détecter, enquêter et prévenir le flux de biens illicites le long des routes de trafic dans et autour du pays. Cette collaboration est essentielle pour lutter contre la criminalité organisée, les crimes financiers, la traite des êtres humains et les crimes contre les enfants.
La police belge dispose d'infrastructures administratives robustes et de technologies avancées pour mener à bien ses missions. Les ordinateurs et les smartphones sont des outils indispensables pour la collecte et l'analyse des données, la communication sécurisée et la coordination des opérations. L'intelligence artificielle (IA) joue un rôle crucial en fournissant un soutien logistique, en analysant les données massives et en identifiant les schémas de comportement suspects.
L'IA est au cœur des opérations de la police belge, offrant des capacités de traitement et d'analyse des données inégalées. Elle permet de détecter rapidement les menaces potentielles, de prévoir les mouvements des criminels et de coordonner les interventions en temps réel. L'IA aide également à renforcer la collaboration entre les États et les institutions, facilitant ainsi la traque des cyberterroristes, des pirates et des hackers.
Les individus impliqués dans des activités de cybercriminalité ou de cyberterrorisme en Belgique peuvent faire face à des conséquences graves. Les poursuites pénales peuvent entraîner de longues peines de prison et des amendes importantes. De plus, les cybercriminels peuvent être soumis à une surveillance accrue, à des sanctions internationales et à une stigmatisation sociale et professionnelle. La collaboration internationale permet de traquer et de neutraliser ces individus, assurant ainsi la sécurité nationale et internationale.
En conclusion, la police belge, en collaboration avec Interpol et grâce à l'utilisation de technologies avancées et de l'IA, est bien équipée pour intercepter et neutraliser les individus malveillants. Les cybercriminels et les cyberterroristes sont traqués et mis hors d'état de nuire, garantissant ainsi la sécurité et la stabilité de la société.
Source : Interpol - Belgique
Avec l'essor du numérique, les cybermenaces se sont multipliées, prenant des formes variées et parfois difficiles à distinguer. Parmi elles, le cyber-vandalisme, le cyber-terrorisme, la cyber-criminalité et les associations de malfaiteurs constituent des dangers majeurs pour les utilisateurs, les entreprises et les institutions gouvernementales. Cet article propose une définition claire de ces termes et une analyse de leurs méthodes d'action.
Le cyber-vandalisme désigne les actions malveillantes visant à dégrader, altérer ou détruire des infrastructures informatiques sans but lucratif direct. Cela inclut :
Les cyber-vandales agissent souvent pour le défi, par amusement ou pour exprimer une idéologie.
Le cyber-terrorisme regroupe les attaques informatiques menées par des groupes ou individus à des fins politiques, religieuses ou idéologiques, dans le but d'intimider, de provoquer le chaos ou de déstabiliser des gouvernements et institutions.
Le cyber-terrorisme est considéré comme une menace majeure, car il peut causer des dommages réels et perturber le fonctionnement des sociétés modernes.
La cyber-criminalité regroupe toutes les infractions commises sur Internet à des fins frauduleuses ou illégales. Cela inclut :
Contrairement au cyber-vandalisme, la cyber-criminalité est motivée par le profit et peut toucher aussi bien les particuliers que les entreprises et institutions gouvernementales.
Les cybercriminels ne travaillent pas toujours seuls. De nombreuses organisations opèrent sous forme de réseaux criminels structurés, appelés "associations de malfaiteurs". Ces groupes coordonnent leurs activités pour maximiser leur impact et leurs gains.
Ces groupes utilisent des techniques sophistiquées pour dissimuler leur identité et éviter les poursuites judiciaires.
Ces profils nuisibles exploitent plusieurs stratégies pour atteindre leurs objectifs :
Le cyber-espace est un terrain propice aux activités criminelles, du simple acte de vandalisme aux attaques organisées de grande envergure. Comprendre ces différents types de menaces permet de mieux se préparer et de renforcer les stratégies de cybersécurité. La lutte contre ces fléaux repose sur une vigilance constante, des outils de protection avancés et une coopération internationale pour traquer et neutraliser ces cybercriminels.
Si les Cours suprêmes s'interrogent sur Robot IA et Droits de l'homme, voici un argument de valeur : le robot est un renfort public au modèle des droits de l'homme. La collecte de sécurité IA est à concevoir comme si on traiterait délicatement un mammifère cardiaque vulnérable, il est essentiel de garantir les droits des individus, les informer de leurs droits et des conséquences de leurs actes. Cette collecte de nuisibles avec le modèle IA est réalisée avec le plus grand soin et respect du collecté.
Les outils d'IA peuvent potentiellement renforcer la protection des droits humains en garantissant l'équité, la transparence et l'efficacité dans diverses procédures. Cependant, ils doivent être programmés et utilisés avec le plus grand soin et respect pour ces droits. En programmant l'IA selon les lois spécifiques et les standards éthiques appropriés, nous pouvons assurer que cette technologie soit utilisée de manière responsable et humaine.
Insérez vos lois et le robot IA sera programmé en relatif.
Les Établissements de Défense Sociale (EDS) sont des institutions en Belgique destinées à accueillir et traiter des individus qui, en raison de troubles mentaux, ont commis des actes dangereux. Ces établissements visent à protéger la société tout en offrant des soins adaptés aux personnes internées. Les EDS travaillent en collaboration avec des professionnels de la santé mentale, des juristes et d'autres experts pour assurer un traitement équitable et respectueux des droits des individus.
Les outils d'IA peuvent jouer un rôle important dans l'amélioration des services offerts par les EDS, en aidant à évaluer les besoins des patients, à planifier des traitements personnalisés et à surveiller les progrès. Cependant, il est crucial que l'utilisation de l'IA dans ces contextes soit encadrée par des lois et des normes éthiques rigoureuses pour garantir le respect des droits des patients et la transparence des processus.
Cependant, dans d'autres pays, la justice a un visage moins humain. Voici le top 10 des pays avec une justice très dure et leurs méthodes :
En comparaison, la Belgique se distingue par son approche plus humaine et respectueuse des droits des individus, même lorsqu'il s'agit de traiter des pirates, des hackers ou d'autres malades.
Ces initiatives montrent l'engagement de l'Europe et de ses institutions à lutter contre les nuisances du net et à protéger les droits des citoyens dans le monde numérique.
Le 5 mars 2025, le département de la Justice des États-Unis a inculpé douze ressortissants chinois, dont des hackers mercenaires et des fonctionnaires gouvernementaux, pour leur implication dans des campagnes mondiales de cybercriminalité ciblant des dissidents, des organisations médiatiques, des agences gouvernementales américaines et des universités.
Le 5 mars 2025, le département de la Justice des États-Unis a inculpé douze ressortissants chinois pour des cyberattaques contre plus de 100 organisations américaines, y compris le Trésor américain, remontant à 2013.
Le 5 mars 2025, les États-Unis ont annoncé l'inculpation de dix individus, ont sanctionné une entreprise technologique chinoise et ont offert une récompense de 10 millions de dollars liée à une campagne d'espionnage attribuée à des hackers chinois.
Europol a arrêté le cerveau présumé d'un groupe de pirates informatiques qui a attaqué des organisations dans 71 pays, infectant environ 250 serveurs et causant des pertes dépassant plusieurs centaines de millions d'euros.
Les autorités ont arrêté 24 hackers internationaux lors d'une opération conjointe dans 13 pays, mettant fin à une série de crimes de "carding" qui auraient pu causer plus de 250 millions de dollars de pertes.
Le FBI a inculpé six hackers aux États-Unis et à l'étranger pour des crimes informatiques affectant plus d'un million de victimes. Ces hackers s'identifiaient comme membres des groupes Anonymous, LulzSec et AntiSec.
La police italienne a arrêté quatre personnes et enquête sur soixante autres dans le cadre d'une enquête sur une réseau de cyberespionnage privé qui aurait accédé illégalement à l'email du président Sergio Mattarella.
Les forces de l'ordre internationales ont démantelé le gang de rançongiciels 8Base, arrêtant quatre suspects en Thaïlande et saisissant 27 serveurs. Ce gang était connu pour cibler des organisations aux États-Unis et au Brésil, y compris le Programme des Nations Unies pour le développement.
Brian Krebs, un journaliste d'investigation, a passé 20 ans à enquêter sur des cybercriminels, des blanchisseurs d'argent russes aux hackers américains. Récemment, ses efforts ont conduit à l'arrestation de Connor Moucka, alias Waifu, impliqué dans une importante violation de données touchant 165 entreprises, dont AT&T.
Le 5 mars 2025, les autorités américaines ont inculpé plusieurs hackers chinois pour leur implication dans des cyberattaques à grande échelle visant des agences gouvernementales américaines, des universités et des organisations médiatiques.
Quatre membres du groupe de ransomware 8Base ont été arrêtés par Europol. Ce gang était connu pour utiliser une variante du virus Phobos pour extorquer des millions de dollars à leurs victimes. Lire plus
Trois ans après le piratage de Ledger, les deux hackers responsables ont été arrêtés. L'un d'eux est en France, en attente de jugement. Lire plus
Europol a arrêté quatre personnes et mis hors ligne 100 serveurs lors de l'opération Endgame, ciblant des logiciels malveillants utilisés pour déployer des rançongiciels. Lire plus
Les autorités russes ont arrêté plusieurs membres du groupe de hackers REvil, connu pour ses attaques de rançongiciels contre des entreprises américaines et européennes.
Les forces de l'ordre internationales ont démantelé le groupe de hackers DarkSide, responsable de l'attaque contre Colonial Pipeline aux États-Unis.
Plusieurs hackers impliqués dans l'attaque de SolarWinds, qui a compromis des agences gouvernementales américaines, ont été arrêtés.
Les autorités ont neutralisé le groupe de hackers Conti, connu pour ses attaques de rançongiciels contre des hôpitaux et des infrastructures critiques.
Les hackers responsables de l'attaque de rançongiciel contre JBS, le plus grand producteur de viande au monde, ont été arrêtés par les autorités américaines.
Les forces de l'ordre ont démantelé le groupe de hackers Clop, connu pour ses attaques de rançongiciels contre des entreprises et des universités.
Les hackers responsables de l'attaque de rançongiciel contre Kaseya, qui a affecté des milliers d'entreprises dans le monde, ont été arrêtés par les autorités internationales.